Après plus de quarante ans de vie, les désordres, que l'on retrouve très fréquemment sur ce genre de patrimoine, sont les dégradations, ici très avancées, des nez de balcons filants.
La faute en est à l'utilisation de l'acier et au mode fixation par scellement « à la française » des gardes corps barreaudés et des fixations des portillons et pare-vues. Profitant de cette nécessité de déposer les garde-corps existants, il a été recherché un dispositif de garde-corps minces opaques favorisant le « relooking » des façades.